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mes amis pour tjr
23/07/2006 17:57
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mes souvenire
23/07/2006 17:55
  
Je serais muet ? J'étais pourtant bavard. Peut être que je parle ? Je ne sais pas, je ne sais plus Je n'entends rien. Peut être me répond-t-on ? Je ne sais pas. J'adore toujours le jazz. Je pue salement Je le sais, je me sens A plein nez Je me douchais deux fois par jour. Je commence à oublier Si je dois dormir Ou rester éveillé Est-ce la nuit ? C'était le début du jour. J'ai faim Je picorais ce matin Je pense Je pensais avant Je te sens haleter Je t'imagine apeurée Je te sais inquiète Je survis Je vivais il y a trois minutes J'appelle Dieu d'ici Je ne l'ai jamais appelé Je te vois seule, comme je suis isolé Je sais que tu téléphones A ta mère, à ton frère C'est comme si j'étais à la maison J'espère que les jumeaux vont bien Et le chien ? Je pense Je pensais Je pense plus fort Je pense déjà différemment Est-ce que j'ai déjà pensé? J'ai une soif de - je ne sais pas- de chameau Je buvais comme on boit Tranquillement à table chez soi Je ne vois rien J'adore l'horizon rose J'en suis sûr ici maintenant J'ai froid sans plus La température doit rester constante Il y a quelqu'un que je ne connais pas Il ne bouge pas ou plus C'est un homme pas loin J'en suis presque content Je me dis que ce corps N'est pas le tien Je ne suis pas gommé Il reste une part de moi Une part assez vivace Une part qui s'accroche Une autre qui ne lutte plus Je pense Je pense à penser A quoi penses-tu toi là-bas ? Question idiote ! Je sais la réponse depuis toujours Je pense Je pense à penser Je ne fais que cela Pour être un peu pour deux Pour plus tard Pour bientôt Je pense très fort Assez pour que tu m'entendes J'ai lu que les abos font ainsi Attends-moi le temps qu'il faudra Il est plus que temps de creuser, s'écorcher J'oublie de penser, je fouille, je gratte J'arriverai à l'heure avant un siècle
  
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mon ange perdu
23/07/2006 17:47
Lumière d'un instant,
Envie de toute une vie,
Tu l'as croisé une soirée,

Ton coeur a chaviré.
Rayon de soleil,
Petit et fragile,

Tu traverses l'espace.
Flèche d'Apollon à la recherche d'un coeur à prendre,
 
Tu navigues sans cesse
Et sème de l'amour partout sur ton passage.

Mais tes escales sont courtes
Et le vent remporte tout.
C'est sur le bord d'un port

Que j'ai regardé partir mon coeur.
Tu l'as emporté et l'as noyé
Mais avec toi il est resté
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mon bébé
23/07/2006 17:44
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ne soit pas timide
Je t'aime pour amener du soleil dans ta vie, Je t'aime pour te faire oublier tes ennuis, Je t'aime pour essayer de te faire sourire, Je t'aime pour égayer toute ta vie de rires,
 Je t'aime pour que tu ne penses plus à tes peurs, Je t'aime pour que tu oublies toutes tes douleurs.
Je t'aime parce que tu comptes beaucoup pour moi, Je t'aime parce que tu es toi et juste toi,
 Je t'aime parce que tu sais toujours m'écouter, Je t'aime parce que tu es présent pour m'aider, Je t'aime parce que tu effaces mes soucis, Je t'aime parce que tu illumines ma vie.

Je t'aime bien que nous soyons tant différents, Je t'aime bien que ton coeur soit des fois absent, Je t'aime bien que tu penses à lui parfois, Je t'aime bien qu'il fasse partie de toi,
 Je t'aime bien que tu ne puisses pas tout m'offrir, Je t'aime bien que cela me fasse souffrir.
Je t'aime plus que je n'ai jamais aimé quelqu'un, Je t'aime plus que n'importe quel autre être humain,
 Je t'aime plus qu'il est possible d'aimer sur terre, Je t'aime plus qu'un enfant, qu'un père ou qu'une mère, Je t'aime plus que tout l'amour du monde réuni, Je t'aime plus que moi, je t'aime plus que ma vie...
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un ami cher
23/07/2006 17:43
 
Te souviens tu de ce jour à la croisée de nos chemins Où Princesse rebelle je cherchais mon destin Tu as posé sur mon coeur l'esquisse de tes yeux Dans un tourbillon de bonheur mon sourire est devenu amoureux
  Seule et fragile tu m'as effleuré de tes doigts Et la fleur focile est devenue "Rose d'éclat" Auréolée d'une lumière douce et printanière Parfumée au goût de tes baisers sur mes paupières
  Le temps n'avait pas d'emprise Et je t'aimais si fort Ma vie tu l'avais comprise Etait plus riche qu'hier encore
  Pour tous ces mots d'amour que tu me murmurais tout bas Pour tous ces regards qui me laissaient sans voix J'allais solliciter le pouvoir de la lune Pour faire de ses reflets mon habit ma plus belle fortune
  J'allais parler aux étoiles afin que ton regard se fasse de velours Et qu'il m'habille de tendresse mon amour Afin que mon parfum t'enivre comme celui d'une fleur Dans ces moments calins où je te donnais mon coeur
  Le temps n'avais pas d'emprise Et je t'aimais si fort Ma vie tu l'avais comprise Etait plus riche qu'hier encore
  Quand tes lèvres tièdes se déposaient en baisers papillon C'était l'ultime caresse de ta bouche sur ma joue noyée d'émotions Je devenais l'alizée pour souffler sur ton corps un parfum de lavande Bouquet de fraîcheur parsemé de roses et d'orchidées en offrande
  Amour regarde mon ciel il est bleu Il forme des anneaux d'or comme l'amour dans mes yeux Quand nos coeurs s'envolent et nos âmes ne font plus qu'une Quand tu es près de moi et m'offre ces baisers de lune
  Le temps n'a pas d'emprise Et je t'aime encore Ce soir il faut que je te dise Chaque demain je t'aimerai plus fort
La clairière enchantée
Aperçu:
La nuit s'avançait avec toute la promesse d'instants magiques à venir.
 J'avais eu la charge d'allumer les feux sacrés aux quatre coins de la clairière. Tout le monde était présent et se préparait à accueillir une amie de coeur. Elle ne se doutait de rien. Marie et Dhora étaient allées lui rendre une petite visite comme d'habitude, mais lui avaient préparé une belle surprise en accord avec tous ceux présents ici. Tous ses amis, venus de Belgique, de France, du Québec, de Suisse et d'au-delà des mondes. L'homme des bois avait parlé avec le monde de la forêt. Les fées, les elfes, les lutins et les animaux des bois avaient accepté d'être au rendez-vous pour rendre hommage et faire la fête à
Gaëlle. Le sage avait communiqué avec les êtres de lumière et les anges, eux aussi voulaient offrir leur amour et leur lumière à ce p'tit bout de femme. Marie et Dhora avaient dû utiliser toute une stratégie pour faire sortir Gaëlle de ce maudit hôpital, mais rusées et décidées comme elles l'étaient, elles n'avaient eu aucun mal. Bientôt on entendit le bruit du moteur au loin et puis le silence. Elles arrivaient............ Tous, nous retenions notre souffle et notre joie. Gaëlle se demandait bien ce qui se passait et ce qui l'attendait. Une douce sensation de bonheur s'éveilla en elle lorsque marchant sur le chemin, des lucioles venues guider ses pas dans le noir, virevoltaient en tous sens et heureuses d'être les premières à lui souhaiter la bienvenue. Les arbres se penchaient en révérence et une pluie de pétales de roses tombait délicatement du ciel. Les fleurs se mirent à pousser là où ses pieds s'étaient posés. Une lueur elle aperçut.
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